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Les 2C dans la légende

Dernière mise à jour : 3 déc. 2019

Le seigneur Georges Castriote Skanderberg et son cheval ailé

Au temps des sultans, Skanderberg se distinguait comme l’un des meilleurs officiers du sultan Murat II. Né à Krujë, en Albanie, Skanderberg appartenait à la famille Castriote.


Il était le fils de Jean Castriote, seigneur de la moyenne Albanie. Le seigneur ne s’entendait pas avec le sultan Murat II qui voulait prendre l’indépendance de l’Albanie et sans attendre commença entre eux une querelle.


Le jour même, une bataille se déroula à Krujë. L’officier Skanderberg vint avec son cheval ailé qu’il amenait à chacune de ses batailles. Il dut se battre contre l’armée de son père. Lors de la bataille, le cheval se fit poignarder par le sultan.


Skanderberg, stupéfait par la scène qui venait de se passer et par la trahison qu’il ressentait, prit son épée et tua le sultan.


La bataille fut terminée et il rentra chez lui avec son père, toujours avec ce sentiment de trahison, mais officiellement avec l’indépendance de la ville de Krujë.


Pour rendre hommage à son cheval ailé, les habitants construisirent une statue de lui et son cheval. Aujourd’hui, on peut encore observer la statue sur la grande place de la capitale d’Albanie juste en face du musée national historique de Tirana.


Sonila Likaj 2C6




L’académie Saint-Victor

Dans la rue Joseph Lefèvre à Fleurus, vivait un petit garçon nommé Victor. Il était passionné par la musique et prenait des cours de piano depuis tout petit à l’école des arts qui se trouvait au bout de la rue.


Mais un jour, le directeur se disputa avec des fées qui furent vexées de ce que le directeur avait dit et décidèrent de faire disparaître l’école en l’incendiant. Malheureusement, le feu se propagea trop vite et, pour une question de sécurité, les pompiers furent obligés de fermer l’école et de la démolir.


Quelques années plus tard, quand Victor retourna sur le site, il trouva triste qu’il n’y ait plus d’école pour apprendre à jouer de la musique. Alors, il se mit en tête de reconstruire une nouvelle école. Pour cela, il fallait qu’il fasse des études pour devenir prof et aussi des études dans le bâtiment.


Quand il eut fini ses études, il commença donc à construire une toute nouvelle école et à recruter des nouveaux professeurs. Un an plus tard, les travaux étaient finis.


Vint le jour de l’ouverture de l’école d’art à laquelle on donna le nom d’Académie Saint-Victor. Aujourd’hui encore, cette dernière porte ce nom !


Emmy Delhaye 2C6




La charrette magique

Il existait, dans un village nommé Frasnes, un homme surnommé Mirage. Etant ingénieur en automobile, il était dans son atelier comme tous les jours. La technologie du moteur n’existant pas encore, il se devait donc de révolutionner le monde de l’automobile.


Un jour, alors qu’il se baladait pour trouver des idées, il aperçut au loin quelque chose qui ressemblait à une charrette. Il se rapprocha alors et vit que celle-ci était différente, elle était en or et brillait énormément. Elle était trop magnifique pour la laisser là où elle était, alors Mirage la prit avec lui.


Sur son chemin, il se rendit compte que cet objet légendaire pourrait avancer sans chevaux et à une vitesse incroyable. Il libéra alors les deux chevaux destinés à transporter la charrette et il se déplaça extrêmement vite vers le centre du village. Tout à coup, il se fit arrêter. Une divinité qui s’apparentait à un démon se mit devant lui. Mirage, pris de peur, lui demanda ce qu’il faisait ici. Le démon d’une voix très grave et d’un ton énervé lui dit alors :

- Humain ! La charrette sur laquelle tu es assis est mon véhicule, te sens-tu vraiment digne de voyager sur ce genre de véhicule ?

Mirage, la tête haute, lui dit alors :

- Oui, cet objet est trop important pour moi maintenant. Je l’ai trouvé et il est à moi !

Le démon n’avait besoin que d’une seconde de réflexion pour savoir ce qu’il allait faire et engloutit alors la charrette à moitié dans le sol afin de la bloquer et emmena Mirage loin dans le ciel.


On aperçoit encore aujourd’hui, au milieu d’un rond-point, la charrette qui s’y trouvera à jamais.


Arno Denis 2C6


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