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  • Photo du rédacteurCamille Anciaux

De l’univers surréaliste aux Barons bruxellois

Le vendredi 15 mars, les élèves de 6GT-TT embarquaient pour une plongée au cœur de deux univers artistiques différents : d’une part, celui du surréalisme et d’autre part, celui des Barons bruxellois.


L’univers surréaliste

La visite guidée de l’exposition « Histoire de ne pas rire. Le Surréalisme en Belgique » proposée par le musée Bozar était l’occasion pour les élèves de découvrir le courant surréaliste abordé dans le cadre du cours de français de leurs propres yeux. Les élèves ont notamment eu la chance de pouvoir observer les illustres Salvador Dalí, René Magritte, Giorgio De Chirico, Paul Delvaux… mais aussi découvrir des artistes comme Jane Graverol, Max Ernst ou encore Yves Tanguy. 












“L’esprit sain” de Jane Graverol (1965) “L’énigme du désir” de Dalí (1929) 

Leur exploration ne s’est pas arrêtée aux œuvres picturales : l’exposition proposait des photographies, affichait des poèmes, notamment ceux de Paul Nougé, montrait des collages, trois éléments que les élèves ont d’ailleurs eu l’occasion d’expérimenter directement pendant leur visite :


  • Expérimentation de la photographie surréaliste 


  • Expérimentation des collages surréalistes


  • Expérimentation de poèmes surréalistes avec l’aide de ChatGPT

L’univers des Barons bruxellois 

Les élèves ont aussi été plongés dans l’univers des Barons bruxellois grâce à la Cinematek, un lieu qui a non seulement une fonction de diffusion mais aussi et surtout une fonction de conservation et d’archivage de films (belges). 


Mais qu’est-ce que cet univers ? Qu’ont fait les élèves exactement ? 

Ils ont assisté au film « Les Barons" (2009), un film qui met en scène des barons, un groupe de jeunes maghrébins bruxellois convaincus que chaque être humain a un nombre de pas prédéfinis avant sa mort et qu’il faut, par conséquent, éviter de trop marcher, autrement dit, qu’il vaut mieux pratiquer l’oisiveté. 


Exploitant avec humour les clichés liés à l’immigration, au chômage ou encore aux jeunes, le réalisateur belge Nabil Ben Yadir est parvenu à emmener les élèves dans son univers, à les faire rire (#AntilopeJoyeuse), à les faire réfléchir, et parfois même, à les toucher. 


Bref 

Nos rhétoriciens ont passé une journée riche en émotions, en découvertes et en apprentissages, une belle clôture du parcours culturel du cours de français. 


Texte rédigé par Madame Vagenende



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